Le braquage tourne à la fusillade, la police intervenant très rapidement sur les lieux, faisant deux blessés, mais les deux évadés parviennent à fuir en voiture, forcer un barrage puis à trouver refuge le 28 mai dans une ferme de Normandie, prenant en otage la famille d’un éleveur de chevaux qui y vit. L’affiche recopia le style de la Passion du Christ de Mel Gibson!!! Bref, un venin gratuit, bête et méchant. L’excellente suite du biopic de Jacques Mesrine!!! Enfin c’est un avis de non cinéphile, pas fan de film d’actions et connaissant pas bien mesrine alors J’ai pas vu le film et en même temps, j’ai pas que ça a faire.

En juin , il rencontre Sylvia Jeanjacquot dans un bar américain à hôtesses. Au delà de ça ma critique ne me parait pas gratuite mais plutôt argumentée. Le film n est ni a la gloire ni à charge contre le gangster. Il est un peu moins tranchant aussi, moins noir, que le premier volet, mais l’humour y est bien plus présent ; et l’histoire n’en demeure pas moins passionnante, violente, tendue. Il est tué en possession de grenades et d’ armes de poing dissimulées aux pieds de sa compagne. La scène finale est d ailleurs exceptionnelle de tension alors que l on sait déjà comment cela va finir.

Etrange mais aussi logique: Mesrine était un personnage complexe et fascinant: Hors-la-loi permanent, il ne dérogeait jamais aux règles de son milieu, celui des gros calibres, des vols et des règlements de compte.

Mesrine, ce sont des centaines de braquages de banques réussis, probablement des dizaines de meurtres prémédités, huit années passées en détention dans la souffrance et la solitude.

Dans son livre, le Grand Jacques se raconte sans fioriture. On redécouvre le tueur, le braqueur, le kidnappeur. Mesrine à la prison de la Santé.

Tel était Jacques Mesrine. Il raconte le flux tourmenté de douze années de vie, de survie et de flirt avec la mort.

Critiques du film Mesrine : L’Ennemi public n°1 – Page 3 – AlloCiné

Blogspto son livre, Mesrine nous surprend, nous prend à contre-pied encore une fois. Tout au long de son autobiographie, il jalonne ses aventures de phrases somptueuses ou de formules adéquates. Sans le savoir peut-être, Mesrine était un grand écrivain. Ces quelques citations en sont la preuve. Cette trahison allait lui coûter cinq années de prison avant son évasion de la prison de la Santé en mai 78 avec François Besse.

Face à eux des gardiens armés, des patrouilles de police, des murs infranchissables et du barbelé. Une chance sur un million de réussir.

Ils y sont quand même allés juste pour tenir leur promesse. Les deux hommes furent blessés par balle… mais ne réussirent pas leur pari. Les hommes, les vrais, sont rares. Publié par Samuel à Article plus récent Article plus ancien Accueil.